Et si la prévention, allait plus loin que les gestes barrière et les tests de dépistage du virus? Et si la prévention allait au-delà de l’attente disciplinée et confinée, en espérant que le virus passe son chemin… Et si la santé, c’était autre chose que de dépendre d’une instance qui nous soigne une fois qu’on est infecté?
Voilà un mois que j’ai découvert Manger-santé, un site alléchant qui propose des recettes saines, végétariennes, sans gluten, originales et savoureuses… Sisi !
Pour beaucoup d’entre nous, Noël est synonyme d’opulence gastronomique : invitations sur invitations, partage de bons repas, retrouvailles familiales.
Eh oui, en France, qui dit convivialité, dit invitation autour d’un repas. Et pas n’importe quel repas : apéro, entrée, plat, fromage, dessert…. wouahou.. la totale ! Une fois ça va, deux fois, ça va, …. mais on connaît la suite.
Et puis après Noël, c’est la Saint Sylvestre, et puis faudra tenir le coup pour la galette des rois qui viendra peu de week end après, … !!
Bref, on l’aura compris. Même si les prises de conscience autour de la décroissance montent, les fêtes de Noël restent malgré tout trop riches pour nos organismes confortablement au chaud et sédentaires.
Les beaux jours sont encore là, l’automne pointe son nez, profitons-en pour se recharger encore et encore au soleil.
A la fin de l’été, notre corps est encore capable de synthétiser la vitamine D par l’action des rayons UV au niveau de la peau. Dans quelques semaines, notre latitude et la saison hivernale ne permettront plus une intensité suffisante des rayons pour la synthétiser.
Alors, en cette belle arrière saison, continuons de fabriquer cette vitamine en sortant au soleil dès qu’on le peut!
Aujourd’hui, le blé est génétiquement bien loin du « blé ancien », il a connu de profondes modifications qui le rend peu digeste tandis qu’il est omniprésent dans notre culture alimentaire…
A l’heure où une commission d’enquête a rendu en septembre dernier (26/09/18) son rapport sur l’alimentation industrielle et ses préconisations sur les limitations d’additifs et autres ingrédients incorporés aux recettes des plats cuisinés (proposition de passer de 338 à 48 autorisés d’ici 2025 !) [1], ou encore 8 mois après la parution du numéro de 60 millions de consommateurs sur “ces aliments qui nous empoisonnent” (“pesticides, additifs, sucres cachés…”) [2], une conscience collective et individuelle émerge très nettement sur la qualité de ce qu’on met dans son assiette.